En dépit de l'affrontement militaire qui dévalorise les combats " à l'arrière ", plusieurs mouvements à tonalité pacifiste voient triompher de nouvelles formes de radicalité. Combien y a-t-il eu de « mutins » (= hommes qui refusaient de se battre) dans l’armée française ? Dans le reste du pays, dans ce que l’on appelait « l’arrière », les civils ont été mobilisés pour produire, dans les usines transformées à cet effet, les canons, les obus et les camions nécessaires à l’armée. 16. Chacun prétend défendre la civilisation. Femme nue gros seins lutte lesbienne lutte porno lutte sex masturbation féminine video porno Description Dans cette vidéo a caractère pornographique, on peut voir des combats de lutte entre des femmes nues qui se mettent à terre violemment dans des … Des femmes deviennent aussi marraines de guerre, elles écrivent à des soldats pour les rassurer, elles leur envoient aussi des colis composés essentiellement de nourriture. Des bénévoles surnommées « les anges blancs » partent sur le front et deviennent infirmières. * ___Elles conduisent les tramways. Les hommes sont partis à la guerre donc les femmes les remplacent dans toutes les activités économiques. * ___Elles travaillent dans les champs. * ___Elles distribuent le courrier.
La population dite "à l’arrière", comporte tous ceux qui, tant militaires que civils, dans la guerre, ne prennent pas part aux opérations, il s’agit donc aussi bien des femmes, des vieillards, des enfants, des hommes politiques, etc… On oppose "l’arrière" au "front" sur lequel les combats ont lieu. La guerre amena la mobilisation de la population civile au service des combattants à un degré jamais atteint. L'arrière en France pendant la Première Guerre mondiale comprend la population civile des régions non envahies et aussi les militaires éloignés du front. La plupart d'entre elles ont remplacé les hommes enrôlés dans l'armée en occupant des emplois civils ou dans des usines de fabrication de munitions.Plusieurs centaines de milliers ont servi dans les différentes armées dans des fonctions de soutien, par exemple en tant qu'infirmières.
A) La mobilisation de l'économie : 15. Alors que le conflit s'éternise, l'image de l'ennemi se dégrade : en France, l'Allemand est présenté comme un barbare.
II) Le rôle primordial des femmes des villes : « les munitionnettes » A-L’évolution du nombre de femmes dans les usines : Ce n’est qu’en 1915 que l’on se rend compte que la guerre peut durer : les femmes « des villes » sont alors appelées pour pallier le manque de main d’œuvre dans les usines. Les femmes pendant la Première Guerre mondiale ont connu une mobilisation sans précédent. Les femmes pendant la Première Guerre mondiale ont connu une mobilisation sans précédent.